Bilan Carbone STF Imprimeries 2023

Pour la deuxième année consécutive, le groupe STF IMPRIMERIES s’est lancé dans le calcul de son bilan carbone sur l’année 2023. Un exercice que nous affinons au fil des travaux pour plus de précisions.

Notre objectif principal est de respecter la Stratégie Nationale Bas Carbone afin d’atteindre les accords de Paris en réduisant notre bilan carbone de 44% entre 2019 et 2030.

graphique bilan carbone 2023
graphique bilan carbone 2023 selon scope

Résultats 2023 :

Sans surprise, le papier est toujours au cœur de notre bilan carbone, tant d’un point de vue de son lieu de production que de la de la manière dont il est produit.

Nous enregistrons une baisse de notre bilan carbone de 8% lié à:

  • Une baisse d’activité liée à l’envolée des prix du papier
  • Un effort fait sur l’efficacité énergétique
  • Un travail avec nos clients sur le choix des papiers

Les prochaines actions à lancer :

  • Continuer à travailler main dans la main avec nos clients pour les accompagner dans la prise de décision quant au choix du papier
  • Travailler avec nos fournisseurs de papier afin de réduire le facteur d’émission des papiers
  • Réfléchir à des solutions innovantes pour limiter l’impact de certaines matières premières sur l’environnement (film étirable, cerclage, etc)
  • Se rapprocher de CITEO pour analyser et prioriser les prochaines étapes de notre décarbonation

A retenir !

En France, l’électricité que nous consommons est majoritairement nucléaire, donc a un impact limité sur l’environnement.

Si nous produisions en Allemagne, l’électricité représenterait 10’206 tCO2e (contre 1’262 tCO2e en France) et serait 8 fois plus impactante qu’en produisant en France!

Répartition par sites de production

Bilan carbone 2023 par sites

Hors Rotocolor, les 2 sites de production qui ont considérablement réduit leur bilan carbone sont BLG et IPS Reyrieux avec une réduction de 17%.

Pour rappel :

La répartition par site de production dépend de l’activité du site de production.

Les usines de PACY et BLG ayant les plus grosses machines du groupe STF, l’impact sur le bilan carbone est immédiat: plus de papier consommé, plus de fret amont pour ce papier et des fours plus importants (donc des consommations de gaz plus importantes).

Une usine comme FOT, compte-tenu de son activité feuille, a de facto un bilan carbone plus faible.