Bilan Carbone STF Imprimeries 2024

Pour la troisième année consécutive, le Groupe STF IPRIMERIES s’est lancé dans le calcul de son bilan carbone sur l’année 2024. Un exercice que nous maîtrisons chaque année de plus en plus.

Notre objectif principal est de respecter la Stratégie Nationale Bas Carbone afin d’atteindre les Accords de Paris en réduisant notre bilan carbone de 44% entre 2019 et 2030.

Graphique du bilan carbone STF 2024 par scope
Graphique du bilan carbone STF 2024

Résultats 2024 :

Nous sommes très fiers de voir que nous approchons notre objectif 2030 dès fin 2024.

Nous devrions atteindre les objectifs des accords de Paris pour 2025 soit avec 5 ans d’avance !

Nous enregistrons une baisse de notre bilan carbone de 15% lié à :

  • Une baisse d’activité impactant de -3,5% notre bilan carbone
  • Un effort sur l’efficacité impactant de -11,8% notre bilan carbone :
    – Choix de papier moins émissif
    – Effort fait par les papetiers
    – Facteurs d’émission des papiers affinés
Graphique des résultats du bilan carbone 2024 pour STF

Les prochaines actions à lancer :

  • Continuer à travailler main dans la main avec nos clients pour les accompagner dans la prise de décision quant au choix du papier
  • Travailler avec nos fournisseurs de papier afin de réduire le facteur d’émission des papiers
  • Trouver de nouveaux axes d’optimisation énergétique impactant nos scopes 1 et 2

A retenir !

En France, l’électricité que nous consommons est majoritairement nucléaire, donc a un impact limité sur l’environnement.

Si nous produisions en Allemagne, l’électricité représenterait 10’459 tCO2e (contre 1’178tCO2e en France) et serait 9 fois plus impactant qu’en produisant en France !

Répartition par sites de production

Hors RotoAisne fortement impacté par la baisse du volume de la grande distribution, les 2 sites de production qui ont considérablement réduit leur bilan carbone sont BLG et IPS Pacy avec une réduction de 20% et 25%.

Pour rappel :

La répartition par site de production dépend de l’activité du site de production.

Les usines de PACY et BLG ayant les plus grosses machines du groupe STF, l’impact sur le bilan carbone est immédiat: plus de papier consommé, plus de fret amont pour ce papier et des fours plus importants (donc des consommations de gaz plus importantes).

Une usine comme FOT, compte-tenu de son activité feuille, a de facto un bilan carbone plus faible.