En rejoignant la communauté du Coq Vert, STF Imprimeries s’est lancé pour objectif de réduire son bilan carbone (scope 1, 2 et 3).
Pour cela, un chantier de calcul du bilan carbone (scope 1 à 3) sur l’ensemble de nos sites de production a été lancé.
Notre objectif principal est de respecter la Stratégie Nationale Bas Carbone afin d’atteindre les accords de Paris en réduisant notre bilan carbone de 44% entre 2019 et 2030.
Ce bilan carbone nous a permis de nous rendre compte de l’importance du papier dans notre bilan carbone, tant d’un point de vue de son lieu de production que de la de la manière dont il est produit.
La répartition par site de production va beaucoup dépendre de l’activité du site de production.
Les usines de PACY et BLG ayant les plus grosses machines du groupe STF, l’impact sur le bilan carbone est immédiat: plus de papier consommé, plus de fret amont pour ce papier et des fours plus importants (donc des consommations de gaz plus importantes).
Une usine comme FOT, compte-tenu de son activité feuille, a de facto un bilan carbone plus faible.
RÉPARTITION PAR SITE DE PRODUCTION
La répartition par site de production va beaucoup dépendre de l’activité du site de production.
Les usines de PACY et BLG ayant les plus grosses machines du groupe STF, l’impact sur le bilan carbone est immédiat: plus de papier consommé, plus de fret amont pour ce papier et des fours plus importants (donc des consommations de gaz plus importantes).
Une usine comme FOT, compte-tenu de son activité feuille, a de facto un bilan carbone plus faible.
RÉSULTAT
Le papier et son acheminement représentent 63% de nos émissions
Le fret sortant représente 4,5% de nos émissions
L’énergie (gaz et électricité) représente 9% de nos émissions.
LES PROCHAINES ACTIONS À LANCER
- Travailler main dans la main avec nos clients pour les accompagner dans la prise de décision quant au choix du papier.
- Travailler avec nos fournisseurs de papier afin de réduire le facteur d’émission des papiers.
- Continuer à travailler sur notre efficacité énergétique et sur le type d’énergie que nous consommons.
- Réfléchir à des solutions innovantes pour limiter l’impact de certaines matières premières sur l’environnement (film étirable, cerclage plastique, etc).
À RETENIR
En France, l’électricité que nous consommons est majoritairement nucléaire, donc a un impact limité sur l’environnement.
Si nous produisions en Allemagne, l’énergie représenterait 9 011 TCo2 soit 5,3 fois plus qu’en produisant en France.